Bouchet, Ulysse-Joachim

Né à Crest le 22 février 1817

Mort à Paris le 24 novembre 1883

Calculateur coopté et superviseur contrarié.

Ordonné Prêtre à Romans-sur-Isère le 8 mars 1841, Ulysse Bouchet a officié comme professeur de mathématiques dans une institution de Bourg-de-Péage. Son dossier personnel conservé dans les archives inédites du BDL indique : « Instruction primaire élémentaire ; Brevet de capacité n°1 (1846) ; Diplôme de Bachelier ès Lettres (1845) ».

Au cours du mois de janvier 1849, il envoie une première version de son Hémérologie1 étudiée favorablement par Arago. Le mémoire est confié à une commission constituée de Babinet, Laugier et de Largeteau à l’Académie des sciences qui finit par rendre un rapport très élogieux du travail de Bouchet2. Il se fixe alors à Paris, y vivote pendant quelques années. La rencontre du géographe Charles Dien devant les bouquinistes des quais puis celle de Marc-Antoine Gaudin, calculateur au BDL, le conduisent à être testé par Urbain Le Verrier qui, satisfait, l’emploie comme calculateur auxiliaire à l’Observatoire de Paris entre les mois d’août et décembre 1854. Mais l’ambiance qui règne le conduit à quitter cet établissement à la fin de la même année3. Sous-traitant des calculs de la CDT pour Gaudin (occupé par des dépôts de brevets et son entreprise éditoriale menée avec l’un de ses frères), et connu de Largeteau et de Laugier depuis 1849, Bouchet entre comme calculateur auxiliaire au Bureau en 1859 aux cotés des calculateurs titulaires Gaudin, Servier et Picqué et des auxiliaires Gressien et Besse-Bergier (un autre transfuge de l’Observatoire évincé par Le Verrier). Le décès du calculateur principal Lebaillif-Mesnager en décembre 1859 laisse le poste vacant pour plusieurs années.

Remplissant parfaitement sa tâche, Bouchet est provisoirement placé à la tête du Bureau des calculs. Mathieu souhaite le « titulariser » à ce poste en 1864 :

« M. L. Mathieu fait une proposition tendant à attacher définitivement M. Bouchet au Bureau des Longitudes, comme calculateur principal pour la Connaissance des Temps, avec un traitement de 4,000 francs. La discussion et le vote sur cette proposition sont renvoyés à la prochaine séance. »4

En l’absence de toute règlementation intérieure concernant la nomination des calculateurs, la discussion rebondit le 9 mars 1864 :

« M. Mathieu reproduit la proposition qu'il a déjà faite dans la dernière séance relativement à la nomination d'un calculateur principal pour la Connaissance des Temps. Avant de développer cette proposition, il rappelle au Bureau la marche qui doit être suivie en pareille circonstance et lit les passages des procès-verbaux des séances des 2.9.16 février et 9 mars 1859 qui se rapportent à la nomination de M. Servier comme calculateur. On voit par ces procès-verbaux, que le Bureau, ayant chargé son secrétaire de prendre des informations au Ministère de l'instruction publique, il a été répondu : que le Bureau pouvait procéder immédiatement à la désignation du calculateur à nommer ; que le Bureau, après avoir entendu le rapport sur les candidats qui se présenteraient, a procédé à un scrutin dans lequel M. Servier a réuni la majorité des suffrages, que le résultat de la délibération a été transmis au Ministère de l'instruction publique ; enfin que le Ministre a nommé définitivement M. Servier calculateur par un arrêté dont l'ampliation a été adressée au Bureau.

Après avoir rappelé ce précédent, M. Mathieu expose que, depuis plusieurs années, M. Bouchet est employé aux calculs de la Connaissance des Temps ; que depuis que le Ministre a autorisé la réunion des calculateurs dans un local spécial5, M. Bouchet a été placé provisoirement à la tête de ce bureau des calculs ; que M. Bouchet a montré dans l'exercice de ces fonctions et à un très haut degré, toute l'aptitude [application], tout le zèle, tout le dévouement que l'on peut désirer ; qu'après une épreuve aussi prolongée, il pense qu'il y a lieu de fixer la position de ce calculateur. En conséquence, il propose de décider que M. Bouchet sera attaché définitivement au Bureau des Longitudes avec le titre de calculateur principal et un traitement de quatre mille francs pris sur les fonds portés au budget pour les calculs de la Connaissance des Temps. Le Bureau vote au scrutin sur cette proposition.

Il y a huit membres présents. La proposition est adoptée à l'unanimité. La nomination de M. Bouchet comme calculateur principal et la fixation de son traitement à quatre mille francs seront soumises à l'approbation de son excellence le Ministre de l'instruction publique. »

Après avoir maintenu le suspense pendant trois mois pour des questions de pertinence budgétaire6, le Ministre de l’Instruction publique finit par accéder à la demande du Bureau et titularise Bouchet le 1er juin7 :

« […] lettre de M. le ministre de l'instruction publique annonçant que, conformément à la proposition qui en a été faite par le Bureau, M. Bouchet a été nommé calculateur principal auprès du Bureau des Longitudes. Il jouira, à ce titre, d'un traitement de 4,000 francs à partir du 1er juin 1864. L'ampliation de cet arrêté ministériel est jointe à la lettre du Ministre. »8

Après quelques hésitations administratives, Bouchet est donc promu « calculateur principal » en juin 1864, et assure officieusement le rôle de « superviseur des calculs », premier assistant de Laugier, de Mathieu et de Delaunay. Il devance donc des calculateurs titulaires “chevronnés” tels que Gaudin (3500 ff.), les officiers mathématiciens Servier (3500 ff.) et Picqué (ajoint à 2000 ff.), et supervise les auxiliaires Gautier, Besse-Bergier ainsi que le nouveau venu, Camille Flammarion, évincé aussi de l’Observatoire par Le Verrier. Flammarion nous a d’ailleurs laissé une description du « Bureau des calculateurs » de cette époque dans ses Mémoires d’un astronome9. Ulysse Bouchet remplit parfaitement ses fonctions de principal en participant à redonner à la CDT un rythme de production et de publication soutenus (plusieurs volumes calculés la même année dans les années 1863-1866).

Bouchet s’est spécialisé dans le calcul des tables de concordance entre calendriers en lien avec ses premiers travaux :

« M. Ls Mathieu présente, au nom de M. Bouchet, calculateur principal du Bureau, une Note sur la Période Julienne et sur le moyen de calculer, directement, sans recourir à des Tables Spéciales, le nombre de jours de cette Période répondant à une date quelconque de l'Ère chrétienne. Le Bureau autorise l'impression de cette Note dans la Connaisce des Temps. »10.

Il peut enfin publier son œuvre en 1868 ; ses travaux sont remarqués et valorisés par Delaunay et le Bureau écrit à propos de son Hémérologie11 :

« M. Delaunay entretient le Bureau d'un travail important que M. Bouchet vient de publier, à ses frais, sur la chronologie. Il propose de venir en aide à notre calculateur principal, en faisant l'acquisition d'un exemplaire de cet ouvrage pour le Bureau et d'un nombre d'exemplaires égal à celui de ses membres. La proposition de M. Delaunay est adoptée. »12

 

 

 

La période du conflit avec la Prusse est évidemment délicate et Bouchet se réfugie chez lui, dans la Drôme d’où il continue ses travaux pour la CDT. Mais les communications perturbées et l’absence du superviseur retardent la publication de l’éphéméride13.

Bouchet est finalement de retour début mars 1871 et les travaux peuvent reprendre d’autant plus que le Bureau retrouve l’usage de sa bibliothèque, un temps « confisquée » par Le Verrier :

« M. Delaunay communique le Règlement qui a été concerté entre le Président du Bureau et le Dteur de l'Observatoire, pour l'usage de la Bibliothèque commune aux deux établissements. M. Liouville demande qu'un exemplaire de ce règlement soit déposé dans la salle des séances du Bureau : il sera fait droit à la demande de M. Liouville. M. Mathieu annonce l'arrivée de M. Bouchet et la reprise des travaux réguliers du Bureau des Calculs, qui a eu lieu lundi dernier. »14

Mais la situation est toujours délicate et les calculateurs ont du mal à se faire payer leur traitement :

« M. Yvon Villarceau fait part au Bureau de la mort de M. le Cdant Servier, l'un des calculateurs titulaires, décédé à Lons-le-Saulnier, dans les premiers jours du mois d'avril ; Il en a informé officiellement le Ministre de l'Instruction publique. Le secrétaire rappelle que le Bureau a ajourné au retour à Paris des membres absents, les réclamations à adresser au Ministre pour obtenir le paiement de leurs traitements pendant le siège de Paris : Il fait observer qu'on ne peut tarder davantage à réclamer le paiement des traitements des calculateurs titulaires : MM. M. Servier, Picqué et Bouchet. M. Delaunay fait remarquer qu'en effet la situation de ces calculateurs est toute autre que celle des membres titulaires qui étaient absents de Paris, pendant le Siège. Les deux premiers habitent la province ; ils y ont continué leurs travaux habituels, et le troisième qui a quitté Paris avec l'autorisation de M. Mathieu et n'a pu y rentrer à cause de l'Investissement, n'en a pas moins continué en province les travaux de calcul qu'il eût effectués à Paris. »15

La succession de Puiseux et l’arrivée discutée de Maurice Loewy à la tête de la CDT en décembre 1872, sont une source de frustrations pour Ulysse Bouchet16. Ces épisodes qui voient le comportement de Bouchet être remis en cause par le Bureau au cours des années 1874-75 sont longuement détaillés dans le chapitre 8 (nous y renvoyons le lecteur). Résumons-les ici.

Afin de calculer les tables de la Lune de Charles-Eugène Delaunay, le Bureau fait appel depuis l’année 1867, à des calculateurs auxiliaires de plus en plus nombreux, jusqu’à une vingtaine certaines années17. En raison des difficultés de santé de Victor Puiseux, Ulysse Bouchet gère aussi la caisse des calculs depuis mars 1871, et fait office de superviseur du Bureau des calculateurs, à la fois ordonnateur et payeur des calculs. Lorsque Loewy est désigné directeur de la CDT en décembre 1872, Bouchet avait posé sa candidature, oubliant que cette responsabilité devait échoir à un membre titulaire du Bureau… Certains des calculateurs auxiliaires se voient aussi attribuer des tâches de garçon de bureau ou de courses par Maurice Loewy (courriers, transcriptions et traductions d’ouvrages, courses pour fournitures diverses, gestion et inventaire de la bibliothèque, etc.). Certains calculateurs, faiblement rémunérés, sont amenés à faire des avances d’argent pour payer de petites courses que la caisse des calculs, toujours gérée par Ulysse Bouchet, ne leur rembourse qu’avec des retards de plus en plus grands et la grogne monte au sein des auxiliaires. Bouchet s’en fait le relais et en informe Loewy et le Bureau dès le mois de mars 1874, mais la situation n’évolue guère. Au contraire, Bouchet est accusé par Loewy d’être l’instigateur de cette grogne. Loewy assigne donc Bouchet et quelques calculateurs devant un juge de paix et une commission d’enquête est désignée par le Bureau des longitudes18. Cette commission rend son rapport en juillet 187419 ; Bouchet est rappelé à l’ordre et après avoir été un temps menacé de révocation, il est obligé de formuler des excuses au Bureau pour sauver son activité et son emploi de calculateur (principal). Mais la commission constate que des lacunes de règlement intérieur sont aussi la cause de ces premiers dysfonctionnements. Elle recommande au Bureau de laisser Loewy choisir ses calculateurs auxiliaires pour remplir les objectifs qu’il s’est fixé quant à la conduite de la Connaissance des temps. Loewy dénonce une équipe de calculateurs titulaires vieillissante (Bouchet a 55 ans, Picqué en a 60 et Gaudin est âgé de près de 70 ans) et parfois incompétente. Bouchet et Picqué sont ainsi désapprouvés, et Gaudin est poussé à la retraite. Loewy coopte de nouveaux calculateurs : Schulhof et Roche en 1874 ; Rocques-Desvallées est recruté à la fin de l’année 1875. Ce premier épisode de tensions se clôt sur les révocations discrètes des auxiliaires Jeanmougin et Perroncel en 1875 (ils étaient en service depuis 1866-67). Mais Loewy, et quelques membres du Bureau ne modifient pas le recours aux calculateurs auxiliaires pour effectuer des tâches subalternes (Rocques-Desvallées est lui-même concerné par ces tâches sans rapport avec les calculs). La deuxième partie de la crise éclate en 1876 lorsque le calculateur auxiliaire Charles Noël, accusé de fomenter une grève au sein du Bureau des calculateurs, est officiellement révoqué. Il est suivi très rapidement par les auxiliaires Hackenberger et Holetschek en 1877. Enfin, le début de l’année 1878 voit le départ volontaire de Gabriel Dallet qui écrira quelques années plus tard qu’il n’y a « aucune position enviable dans les emplois de calculateur du Bureau des longitudes ou de l’Observatoire ».

Après ces épisodes pénibles et délicats pour Bouchet, on n’observe plus de conflits graves entre le Bureau et ses calculateurs. La création du poste de secrétaire-bibliothécaire-agent-comptable du Bureau qui échoie en 1878 à l’ancien calculateur de la CDT issu de Saint-Cyr, le capitaine Louis Agel, est une des réponses à la crise, en déconnectant l’ordonnateur et le payeur des calculs.

Après l’apaisement, Ulysse Bouchet est promu calculateur de 1ère classe le 29 janvier 1881 lorsque le « Service des calculs » est officiellement « créé » ; il est alors payé 5000 francs annuellement. Bouchet poursuit ses fonctions de calculateur principal aux côtés de Schulhof, Roche et Rocques-Desvallées qui ont toutefois pris la place principale dans le dispositif mis en place par Maurice Loewy20.

Lors de la séance du 22 novembre 1882, le Ministère demande au Bureau de désigner des personnels susceptibles de recevoir une décoration et notamment celle d’Officier de l’Instruction publique :

« […] 2de Lettre du ministre demandant que le Bureau veuille bien lui désigner les personnes parmi celles employées dans la Connaissance des Temps, qui méritent quelque récompense. M. le président répondra. MM. Barnaud – Salats – Leygue [officiers d'académie]21, Tessier22, Roche, Schulhof23, comme Chevaliers [de la Légion d’honneur] et Bouchet officier de l'instruction publique »

La proposition de Bouchet est validée le 20 janvier 1883 :

« Le Ministre de l'Instruction Publique informe le Bureau qu'il a nommé officier de l'Instruction Publique M. Bouchet calculateur principal. »

En septembre 1883, Ulysse Bouchet est membre fondateur et membre du comité éditorial de La Libre Revue (littéraire et artistique)24, rassemblant certains des poètes de son époque, Martial-Moulin, Fabre des Essarts, et François Coppée notamment.Le premier numéro de La Libre Revue sort le 1er octobre 1883, avec un éditorial d’Armand Silvestre.

Ulysse Bouchet ne profitera pas longtemps de la reconnaissance tardive apportée à son travail et de ses nouvelles activités littéraires. Il décède le 24 novembre 188325 :

« M. le Président parlant de la mort de M. Bouchet calculateur principal, rappelle les services rendus par ce fonctionnaire méritant, et se fait l'interprète des sentiments de regret du Bureau. »26

Les dépenses des funérailles sont prélevées sur le traitement de Bouchet et une provision de 316,67 francs est remise à M. Moulin, attaché au ministre de l’Instruction publique par Charles Farcy — le nouveau secrétaire-bibliothécaire-agent-comptable du Bureau depuis le mois d’octobre 1883 —, par l’intermédiaire de Loewy le 27 novembre 188327.

Le Journal de la Drôme rend compte de son décès, prouvant une certaine notoriété du personnage qui était resté fidèle à sa Ville natale :

« Pendant ce trimestre le Département a perdu M. Ulysse Bouchet, calculateur principal au Bureau des longitudes, Officier de l’Instruction publique, né à Crest. Tous les anciens élèves de l’Institution du Bourg-de-Péage ont conservé les meilleurs souvenirs de cet aimable professeur, si simple dans ses goûts et si profondément versé dans les sciences. Il a publié un traité sur l’Hémérologie ou l’art de calculer les dates. »

Les papiers et manuscrits de Bouchet étaient dans les mains de Hervé Faye à la fin de l’année 1883. Sa notice biographique parue dans le Dictionnaire de la Drôme, laisse entendre qu’il aurait laissé un précieux manuscrit intitulé Manuel du calculateur, que nous n’avons pas (encore) trouvé… Ce serait alors le seul témoignage des pratiques suivies au sein du Bureau des calculateurs à cette époque. Rappelons que selon Léopold Schulhof qui en témoigne en 1911, l’habitude avait été prise depuis Bouchet de ne rien garder des feuilles de calculs en raison du manque de place.

 

 

1. Bouchet, Ulysse, Hémérologie ou Traité complet des calendriers [...], Paris, (1868, E. Dentu).

2. CRAS, 1849, T.29, juillet, 350-351.

3. [Notice Ph. Véron.] ; AN, F17.3725 (Observatoire de Paris).

4. PV BDL, 2 mars 1864.

5. Rappelons que depuis 1861 au moins, les calculateurs sont accueillis chez Mathieu et Delaunay, au 76 rue Notre-Dame des Champs, dans un local loué 1000 francs par an par le Bureau des longitudes à la Veuve Bosse [Archives inédites du Bureau des longitudes, Institut de France].

6. Delaunay explique que le paiement des 4 calculateurs dont Bouchet est couvert par le budget ”Personnels” du Bureau soit 26.000 francs (Personnel titulaires, artistes, adjoints et calculateurs). Lettre du 28 mai 1864, de Delaunay au Ministre (AN F17.23129, dossier Bouchet).

7. Bull. Adm. Inst. Publ., 1864, vol. 1/21, 415, nomination de Bouchet calculateur principal au Bureau des longitudes en date du 1er juin 1864.

8. PV BDL, 8 juin 1864.

9. Flammarion, C., 1911, Mémoires biographiques et philosophiques d’un astronome, Paris, E. Flammarion.

10. PV BDL, 12 août 1868.

11. Bouchet, 1868, Hémérologie ou traité pratique complet des calendriers julien, grégorien, israélite et musulman (Paris, E. Dentu, 531 pages). ; « ouvrage approuvé par l’Académie des sciences et admis dans le catalogue du ministère de l’Instruction publique » est-il indiqué dans son dossier personnel conservé au BDL (Archives inédites du Bureau en cours d’inventaire).

12. PV BDL, 8 décembre 1869.

13. PV BDL, 8 février, 1er mars 1871.

14. PV BDL, 8 mars 1871.

15. PV BDL, 31 mai 1871.

16. Nous avons développé ce sujet dans le chapitre 8 de notre « Pour la Gloire de M. de la Lande » […].

17. Voir notre chapitre 8 et les annexes 1 et 3 de notre ouvrage.

18. PV BDL des 28 janvier, 13 mai, 28 avril, 28 mai 1874. La commission est composée de Mouchez, Bréguet et de l’Amiral Pâris, rapporteur.

19. PV BDL des 1er et 8 juillet 1874.

20. Voir notre chapitre 8.

21. Officiers de marine délégués à l’observatoire de Montsouris.

22. Jules Tessier est officier de marine délégué à Montsouris ; il deviendra, au début de l’année 1900, secrétaire-bibliothécaire-agent-comptable du Bureau des longitudes, succédant à Charles Farcy, nommé en octobre 1883, lui-même remplaçant Louis Agel.

23. Les nouveaux calculateurs de premier rang cooptés par Loewy en 1874 et 1875 afin de renouveler l’équipe jugée par Loewy lui-même, vieillissante et incompétente, des calculateurs du Bureau des longitudes.

24. Disponible sur Gallica (BNF, Paris).

25. La Libre Revue, décembre 1883, n°4, p. 115. URL : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k12665264.

26. PV BDL, 28 novembre 1883.

27. Reçus signés, fonds inédit du Bureau des longitudes, « Copies des lettres » (carton O), registre n°1, lettres de 1883-1884, fol. 17r°].

Citation du texte: Guy Boistel, “Bouchet, Ulysse-Joachim,” La connaissance des temps, consulté le 25 avril 2024, https://cdt.imcce.fr/items/show/497.